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Les rendements des produits bancaires sont en baisse

Depuis quelques mois, les taux d’intérêt ne font que baisser et les épargnants s’inquiètent pour leurs rendements annuels.

Les livrets réglementés ne sont plus aussi populaires qu’avant

Les français sont nombreux à avoir placé leur argent dans leur banque par précaution dans des livrets sans risque, mais ces placements ont un rendement inférieur aux autres types d’investissement. Avec la baisse actuelle des taux d’intérêt, la rentabilité est en chute et les épargnants commencent à s’intéresser aux placements secondaires.

Les particuliers conservent cependant un attachement à leur épargne de précaution qui peut les aider en cas de coups durs ou de nouveaux projets d’achat. Le livret A reste le moyen d’épargne favori des citoyens français puisque c’est un placement sans risque, exempté de taxe et réglementé par l’Etat.

Le gouvernement français s’est d’ailleurs engagé à faire abstraction des calculs des taux pour qu’ils restent stables l’année prochaine.

Les super-livrets de moins en moins attractifs

Les établissements bancaires mettent également à disposition de leurs clients des livrets « non réglementés ». L’idée est de placer son argent auprès de son organisme financier, comme pour le livret A, sauf que les taux d’intérêt sont fixés par la banque et les modalités sont différentes du livret réglementé.

En période de taux d’intérêt bas, il peut être intéressant de capitaliser sur ce genre de livret puisque le niveau des barèmes y est plus élevé et les promotions sont florissantes. Cependant, la rentabilité est assujettie à l’impôt et le gain global n’est pas forcément attirant comparés à d’autres types d’épargne.

D’autres produits bancaires moins attrayants qu’auparavant

En 2015, le plan d’épargne logement (PEL) était le produit phare des banquiers puisque les taux étaient considérables et ne fluctuaient pas. Même si les rendements restent plus intéressants que ceux du livret A, il était plus fructueux d’y souscrire l’année passée.

L’avenir se tourne désormais vers les parts sociales des banques mutualistes qui permettent de détenir une part d’un organisme bancaire et d’être rémunéré par rapport à un taux plus élevé que pour les livrets réglementés. Le plafond a été établi en 2016 à 1.81%.

En fin de compte, les produits bancaires sont de moins en moins attrayants puisque le niveau des barèmes est faible et les rendements ne sont plus à la hauteur des attentes des clients français.

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